
Éditeur : Du Chat Noir (Féline)
Genre : Fantastique / Bit-Lit
Date de parution : 1 avril 2014, 1 avril 2014 et 2 novembre 2016
Pages : 442, 378 et 392
Prix du livre neuf : 17 ¤

Primo, j'ai découvert il y a peu que je ne suis pas humaine. Secundo, mes parents biologiques sont respectivement une salope manipulatrice et un connard psychorigide, malade du contrôle. Tertio, ce dernier a lancé des mercenaires loups-garous à mes trousses, dans l'espoir de me voir accomplir une prophétie où je tiens le premier rôle et, malheureusement, la faction maternelle caresse très exactement le même projet – à son profit naturellement. Quarto, imaginer mon ex-fiancé plumé jusqu'à l'os – au sens propre – me procure des frissons d'extase. Quinto, mon ex-amant ne peut me voir en peinture que s'il se trouve sur une terre consacrée ; tu parles d'un pratique ! Et sexto, je fréquente au quotidien bien trop de créatures appartenant au folklore fantastique. Autant dire que j'aspire à plus de normalité, ce qui ne semble pas au programme.

Je crois que si un concours de Miss « Poissarde » existait, j'en serais sacrée reine. Ce voyage au Cénacle aurait dû être simple : rejoindre mon amant volage, lui demander comment me débarrasser de son petit cadeau d'adieu et le laisser filer le parfait amour avec sa morue. Mais les complications me sont bien plus fidèles que ma dernière conquête.
J'ai aimé découvrir ce monde aussi. Un univers assez original, on n'en voit pas dans tous les livres en tout cas.
J'avoue que quand j'ai vue qu'elle se tapait au moins deux hommes par tome et qu'elle tombait amoureuse de chacun d'eux, ça m'a très vite déconcertée et énervée. Mais heureusement, il y a une réponse à cela et je n'aurais jamais cru à ça. Ça m'a totalement surprise et j'ai trouvé ça, surprenant, je crois que je n'ai jamais lu ce genre de chose...
Enfin bref, vous l'aurez compris, j'ai bien aimé l'univers, l'héroïne, les créatures et le final. Je ne peux que vous dire de sauter sur ces livres.
Je levai ma main gauche et la posai sur sa nuque, avant de me mettre sur la pointe des pieds pour déposer un baiser dans son cou, juste sous sa mâchoire. Je sentis très distinctement cette dernière se contracter. Le bras autour de ma taille se resserra d'un cran en guise de représailles, me coupant presque le souffle. Mais je n'allais pas me laisser intimider ; « Jusqu'au-boutiste ! », c'est ma devise.»
biblio-bulle-ooO, Posté le mardi 02 janvier 2018 13:25
Pourquoi pas...